L’Andalousie est la deuxième région de notre road-trip à vélo en Espagne, juste après la Catalogne.
J’ai beaucoup hésité d’ajouter « #1 » à l’intitulé de cet article compte tenu du contexte actuel. Honnêtement, on ne sait pas si on va pouvoir continuer notre itinéraire initialement prévu en Andalousie après le confinement. Espérons qu’on pourra rédiger un autre article intitulé « Andalousie #2 ». Nous verrons bien.
Dans cet article, nous partageons avec vous notre itinéraire de la première partie du périple andalou, la sélection des nos plus belles photos et quelques informations pratiques pour préparer votre voyage à vélo en Andalousie.
Je ne sais plus si je vous ai dit cela mais en tant que cyclistes, nous avons adoré roulé en Andalousie, en Catalogne car les automobilistes ont du respect envers nous. J’imagine que c’est le cas un peu partout en Espagne.
Andalousie et ses provinces
Située au sud de l’Espagne, l’Andalousie est une des communautés autonomes du pays. Amoureuse de l’histoire, j’ai lu depuis fort longtemps des reportages sur cette région qui me fascine.
Sa richesse culturelle est indéniable du fait de conquêtes par plusieurs peuples et plusieurs civilisations au fil des temps : des Grecs, Phéniciens aux Romains et Berbères en passant par les Maures. Cette mosaïque culturelle se reflète dans la littérature, l’architecture, la gastronomie, etc…
L’Andalousie compte huit provinces, à savoir : Almería, Cádix, Cordoue, Grenade, Huelva, Jaén, Malaga et Séville.
Aperçu de l’itinéraire de notre road-trip en Andalousie
Étant donné que nous souhaitons faire des visites et des photos, nous avons envie de nous arrêter pendant quelques jours dans un endroit qui nous plaît. Nous préférons faire moins de kilomètres afin de profiter au maximum des endroits au lieu d’accumuler la distance sur les selles.
Lors de la préparation de l’itinéraire en Andalousie, nous n’avons pas trouvé beaucoup d’informations liées à l’état des routes et aux conditions de pédalage. Il existe un réseau de voies vertes et de chemins de VTT mais nous avons décidé d’emprunter les routes dans la plupart des cas.
Nous avons commencé notre périple andalou à Úbeda, petite ville de la province de Jaén. Ensuite, nous nous sommes dirigés vers l’est en zigzaguant entre les différentes provinces. Nous évitons la côte et préférons découvrir l’intérieur des terres. Ce road-trip en Andalousie a été prévu pour deux mois avec 1 300 km de pédalage.
L’Andalousie ne se résume pas à ses grandes villes telles que Séville, Cordoue ou Grenade. Nous sommes émerveillés par ses villages blancs qu’on a eu la chance de découvrir, par l’arrière-pays qui abrite des champs d’oliviers à perte de vue, des champs de colza, l’omniprésence d’orangers et citronniers, par les paysages à couper le souffle, par un mode de vie relaxant et par le sourire des gens qui sont bercés et inondés de soleil !
Le trajet en bus de Barcelone à Ubeda
Bus de Barcelone en destination de Ubeda [bus de nuit // durée : 12 h] // Prix du billet avec vélo : 78 € / personne | sac de vélo : 12 € / unité
Nous avons pris le bus à Barcelone qui nous a permis de « tricher » un peu et ainsi d’arriver sur le sol d’Andalousie depuis la Catalogne. Il y a quand même 800 km qui séparent les deux régions, et surtout les routes entre ces deux provinces sont très chargées.
Le trajet a été desservi par le réseau Alsa. Vu que c’était un bus de nuit, nous avons dû poireauter dans un café à Barcelone pendant toute la journée. Muni de billets avec place de vélos réservée quelques temps auparavant, nous sommes arrivés à la gare routière avec une heure d’avance.
Il fallait acheter sur place deux housses de vélos. Nous devions enlever les roues avant afin d’emballer nos vélos tant bien que mal. Le numéro de bus est affiché une vingtaine de minutes en avance. Le moment de ranger les vélos dans le bus n’est jamais rigolo, pour ne pas dire pénible. D’autant plus que le chauffeur était très désagréable.
Après 12 heures de transport, nous sommes arrivés à Úbeda sains et saufs. Bien que lessivés, nous étions contents d’avoir pu prendre le bus et que le trajet se soit bien passé malgré tout.
Retour à la Renaissance à Úbeda
Úbeda // nuit à Alvaro de Torres boutique
Une fois sortis du bus, nous avons de nouveau enfourché les vélos pour chercher un petit-déjeuner. C’est souvent un moment de plaisir en Espagne car j’adore l’ambiance qui règne dans les cafés locaux.
On a patienté sur la place devant l’église de San Pablo jusqu’à 13h pour pouvoir poser nos vélos et sacoches à l’hôtel. Nous avions très envie d’explorer la ville dès les premiers moments ici.
Ruelles pavées serpentantes, églises et bâtiments de couleur brunâtre, grandes et petites places bordées d’orangers: les vestiges de la Renaissance de la ville ont été très bien préservés. Surnommées respectivement la Reine et la Dame par l’écrivain espagnol Antonio Machado (voir source), Úbeda et Baeza nous ont complètement séduits.
Comme souvent, pour nous le meilleur moyen de découvrir un endroit c’est de marcher. Et puis, marcher dans les rues pavées me rappelle notre toute première balade sur les berges de Seine à Paris !
Abritant actuellement la bibliothèque municipale, l’ancien hôpital de Santiago est un monument magnifique. Sa façade imposante et massive cache d’agréables surprises dès qu’on a franchi le portail. Il s’agit d’un grand complexe qui est composé de plusieurs compartiments entourant une grande cour.
Explorer la cité de Baeza
Úbeda à Baeza [10 km | piste cyclable | journée facile] // nuit à TRH Ciudad de Baeza
Après deux journées de découverte, nous nous sommes élancés vers Baeza qui est situé à une dizaine de kilomètres de Ubeda. Le trajet fut sans encombre, en revanche les paysages nous ont laissé assez indifférents.
Baeza figure également parmi les sites classés au patrimoine de l’humanité. La balade autour des ruelles pavées et serpentantes nous a beaucoup plu. Parmi les nombreux monuments à l’architecture Renaissance, on peut citer les sites suivants : cathédrale, palais de Jabalquinto, l’ancienne université, etc…
Au fil du Guadalquivir à Cordoue
Baeza à Marmolejo [80 km | 780 m de dénivelée] || Journée éprouvante à cause du vent de face et de dénivelée // nuit à Casa del Agüista
Marmolejo à Cordoue [70 km | 600 m de dénivelée] || Journée longue et assez difficile // nuit à Hostal la Fuente
En quittant Baeza, nous avons repris la route en direction de Marmolejo. Ce fut la journée de pédalage la plus dure de notre road-trip en Andalousie jusqu’aujourd’hui. Afin d’éviter les grandes axes, Jérôme nous a concocté un programme rempli des petites routes. Le vent s’est soudainement levé ce jour-là. Nous avons commencé à donner les coups de pédale vers 9h et nous sommes arrivés à Marmolejo à 19h. Si vous êtes dans ce coin pour une étape, on vous recommande vivement la chambre d’hôte Casa del Agüista.
Le lendemain, une fois l’estomac rempli de très bons churros, nous nous sommes dirigés en direction de Cordoue. Après 70 km et 600 m de dénivelée dans les mollets, nous voici à Cordoue, la capitale de la province homonyme. Ce fut également une longue journée. En effet, nous avons emprunté un petit chemin dont un passage était rempli de boue.
Heureusement que nous avons été réconforté par un excellent déjeuner au restaurant Melchor Bollero à Pedro Abad. On vous le recommande vivement si vous êtes de passage.
Les cinq derniers kilomètres précédent Cordoue étaient folkloriques. On a du s’arrêter souvent pour consulter l’itinéraire. Nous sommes arrivés à Cordoue à la tombée du soir. Une fois nos sacoches posées et nos vélos rangés dans un petit local, nous sommes sortis à la quête du dîner. Le dîner était très bon avec au menu : revuelto aux asperges (œufs brouillés à l’espagnole), patatas bravas.
Cordoue a retenu nos pas pendant cinq jours, ce qui nous a permis de nous balader et de faire des balades sans avoir à courir. Nous en avons pris plein les yeux en terme d’architecture. Cordoue est une ville magnifique sur tous les points de vue. Bien qu’il y ait énormément de touristes dans certains endroits, c’est tout à fait agréable et raisonnable dès qu’on s’en éloigne un peu pour flâner dans les ruelles. D’autant plus que nous y étions en février, cela nous a également permis de découvrir plusieurs lieux de manière sereine.
De toute façon, Cordoue fera l’objet d’un autre article plus détaillé accompagné de plus de photos. Ça y est, l’article sur Cordoue est prêt !
Au cœur du parc naturel de las Sierras Subbeticas
Cordoue à Montilla [50 km | 600 m de dénivelée] // nuit à Lujo Popre
Montilla à Cabra [30 km | 230 m de dénivelée] || Journée courte mais intense, routes sinueuses et jolis paysages // nuit à Pension Guerrero
Après Cordoue, nous avons pris la direction de Montilla où on a passé la nuit suivante. Nous avons traversé de nombreuses oliveraies de la région. Les paysages ne sont pas d’une splendeur à s’exclamer, mais je dois avouer que pédaler au milieu des champs d’oliviers est beaucoup plus agréable qu’au milieu des palmiers (en Malaisie).
Montilla est une petite commune très agréable pour une petite promenade avant le dîner. Lorsque nous sommes arrivés en milieu d’après-midi, la ville semblait morte. En revanche, le soir on n’a pas eu l’impression d’être dans la même ville car l’ambiance était vraiment animée.
Nous avons repris le chemin le lendemain pour regagner Cabra qui est le point d’entrée du parc de las Sierras Subbeticas. Cette partie de la province de Cordoue est connue pour sa pierre appelée marmol rojo de Cabra.
C’était ici que nous avons rencontré Maria-José, la propriétaire de la pension Guerrero à Cabra. Nous avons été très bien accueillis par Maria-José qui est toujours souriante, très attentionnée et aux petits soins pour nous. Elle a même lavé nos vélos couverts de boue sans que l’on lui demande. J’ai été touchée par toutes ces attentions et gentillesses.
Prendre de la hauteur dans le village blanc de Zuheros
Cabra à Zuheros [20 km | 400m de dénivelée] // Voie verte de la Subbética // nuit à l’hôtel Zuhayra
Suivant les conseils de Maria-José, nous avons emprunté la voie verte démarrant à Cabra en direction de Zuheros. Les paysages étaient splendides et très variés. Nous avons passé à côté des amas rocheux, des champs de fleurs sauvages, dans un tunnel et sur de nombreux ponts, entourés d’oliveraies à perte de vue.
Perché sur les montagnes du parc de las Sierras Subbeticas, Zuheros est le premier village blanc visité (pueblo blanco) dans notre itinéraire en Andalousie. Les deux derniers kilomètres étaient éprouvants et affreux à vélo. Une fois à l’intérieur du village, il y a de monstrueux passages en terme de pente. Dans ce genre d’endroit, on n’a qu’une seule envie : jeter les vélos dans un coin et marcher.
Hors des sentiers battus et épargné par les hordes touristiques, Zuheros est de plus entouré d’une verdure exceptionnelle. Plusieurs panoramas permettant d’admirer des paysages à couper le souffle s’offrent à vous. De nombreuses couleurs se mêlent dans cette mosaïque nommée Zuheros : blanc des murs de maisons, brun orange des toits, vert des citronniers et orangers et gris foncé des amas rocheux aux alentours, etc…
On vous conseille de faire une petite randonnée qui commence à côté du premier parking. Il suffit de suivre le chemin indiqué et vous aurez un panorama à couper le souffle sur Zuheros. C’est idyllique.
Se perdre dans les ruelles fleuries de Priego de Cordoba
Zuheros à Priego de Cordoba [25 km | 500m de dénivelée] // nuit à Hospederia San Francisco : ancien couvent reconverti en hôtel
Même si la distance n’est pas importante, vous pouvez constater que la dénivelée l’est vraiment. Ce qui est le plus dur c’est quand on est seulement à deux kilomètres des villages perchés. Lorsque j’aperçois le village, je m’exclame « Oh mon dieu, on va mourir ». Jérôme a tout de suite rétorqué : « Mais non, on ne meurt pas aussi facilement ». C’est vrai que je suis encore là pour faire le récit de nos parcours 🙂
Si vous avez envie de dormir dans un cadre insolite, on vous conseille l’hôtel San Francisco qui a été pendant longtemps un couvent.
Nous avons revu un couple de voyageurs américains avec qui on avait sympathisé la veille à Zuheros. C’est avec plaisir qu’on partage nos périples à vélo avec tous ceux qui s’y intéressent.
Rêvasser au village blanc perché de Iznájar
Priego de Córdoba à Iznájar [30 km | 600 m de dénivelée] // nuit à Caserio de Iznájar
Situé sur les rives de la rivière Genil et du réservoir homonyme, Iznájar est également un magnifique village blanc de l’Andalousie.
Le trajet entre Priego de Cordoba et Iznájar était très plaisant. Nous avons emprunté plusieurs routes en privilégiant celles à 4 chiffres. L’état des routes est dans l’ensemble vraiment correct.
Le centre du village de Iznájar est petit et se parcours facilement à pieds. La place de las Comedias est immanquable et remarquable par une myriade de pots de fleurs en bleu accrochés sur le mur blanc. On a l’impression d’être au pays des Schtroumpfs. Plusieurs « Miradors » (points de vue) offrant de beaux panoramas sur le lac et le chateau de Iznájar.
Road-trip en Andalousie : d’autres infos pratiques
Circuler en Andalousie
Avant d’y être, nous savions qu’il existait un grand réseau de voies vertes (vias verdes) en Andalousie dont certaines servaient de voies ferroviaires d’autrefois. Au final, nous avons très peu emprunté les voies vertes, seulement deux trajets cités auparavant. Le reste du temps, nous avons parcouru les routes normales. Il y a souvent des accotements pour cyclistes. Vous trouverez également les petites voies de service qui sont souvent parallèles aux autoroutes. Du coup, nous étions seuls sur ces routes.
Le trafic n’était pas du tout chargé dans l’ensemble. C’est un des avantages d’explorer l’Andalousie en février-mars. Les automobilistes, quant à eux, ont une conduite plutôt zen et respectueuse envers nous les cyclistes. Il y a pire !
Matériel et équipement pour un road trip à vélo en Andalousie (et ailleurs)
Concernant les outils, pièces de rechange et équipement, nous maintenons la même organisation que pour l’Asie. C’est-à-dire, on n’a pas de modification majeure. Ah si, j’ai reçu en cadeau une nouvelle selle en cuir toute belle et toute neuve et j’ l’adore !
Pour en savoir plus sur nos matériels de voyage à vélo, on vous invite à consulter notre article déjà publié à ce propos.
Au niveau vestimentaire, on a ajouté quelques vêtements chauds pour temps froid. De mon côté, j’ai emmené des t-shirts respirants à manche longue, t-shirt thermique et veste imperméable contre le vent et la pluie. Nous allons mettre à jour notre billet sur le matériel prochainement.
Où dormir en Andalousie
Nous ne pratiquons ni le bivouac ni le camping sauvage. En Andalousie, nous optons à la fois pour les chambres d’hôte, les hôtels ou les logements AirBnb pour les séjours supérieurs à cinq jours. Cela nous permet de pouvoir travailler dans de bonnes conditions.
Par rapport en France, les prix de logement sont en général moins élevés en Espagne. Une chambre double dans une maison d’hôte varie entre 40 et 60 € la nuitée. Concernant les chambres d’hôtel, le prix est dans une fourchette de 35 € à 66 € la nuitée. Le prix s’établit en moyenne à 55 € la nuitée pour les locations AirBnb.
Dans l’ensemble, le rapport de qualité-prix est excellent et nous n’avons pas à nous plaindre.
Voici quelques exemples de nos bonnes adresses en Andalousie :
ÚBEDA | ÁLVARO DE TORRES BOUTIQUE
L’accueil y est excellent. Le personnel nous a aidé à monter toutes nos sacoches sans qu’on le demande. C’est vraiment appréciable! La chambre est décorée avec goût. Il s’agit d’une ancienne maison traditionnelle andalou qui a été restaurée et réaménagée avec élégance. L’endroit est très calme et bien situé. De plus, vous ne serez pas déçu du petit-déjeuner qui est vraiment exceptionnel.
Álvaro de Torres boutique
Plaza Álvaro de Torres, 2, 23400 Úbeda, Jaén, Andalousie
IZNÁJAR | CASERIO DE IZNÁJAR
Très bien situé, cet hôtel est un havre de paix offrant une belle vue sur le réservoir d’Iznájar. Le personnel est très accueillant et serviable. Nos vélos sont bien au sec dans un local. Si jamais vous avez des problèmes avec le vélo, l’hôtel dispose de plusieurs outils de réparation. Le restaurant de l’hôtel propose des plats qui ne sont pas hallucinants mais corrects.
Caserio de Iznáhar
urb.Valdearenas c/ el remolino s/n, 14970 Iznájar, Andalousie
Météo et quand venir en Andalousie
Nous y sommes en février et mars. Pour notre plus grand bonheur, le beau temps était souvent au rendez-vous. Le thermomètre grimpe jusqu’à 27 degrés par moments. Il fait en revanche assez frais le matin et le soir, variant entre 2 et 8 degrés. Pour avoir connu la chaleur écrasante en Asie, on ne demande pas mieux. Parfois, le vent de face est venu rendre les tâches moins aisées.
En plus, les prix de logements sont particulièrement avantageux pour nous. Selon les prix pratiqués que nous avons pu constater, les prix sont souvent doublés de juillet à septembre.
Nous sommes très contents d’être en Andalousie en février et mars.
Se nourrir
Je ne sais pas vous mais j’adore la cuisine méditerranéenne en général et la cuisine andalouse en particulier. Huile d’olive, orange, anchois, asperge, artichaut, etc…tous ces ingrédients m’émerveillent.
Le petit-déjeuner est souvent inclus à l’hôtel. Pour les déjeuners, nous optons souvent pour les sandwich et pâtisseries dans une boulangerie. On se fait plus plaisir le soir en allant au restaurant. Les boulangeries et autres commerces alimentaires ferment dans la plupart des cas entre 13h30 et 17h. Les restaurants servent le dîner à partir de 20h.
Se connecter
Le wifi est présent dans tous les établissements. Il s’avérait que la connexion était faible de temps à autre. Dans ce cas, nous activons notre connexion 4G avec la carte SIM Bouygues Telecom achetée en France.
Communiquer
Avec quelques bases d’espagnol apprises avec Busuu, nous arrivons à nous faire comprendre. Jérôme se débrouille de mieux en mieux. On n’arrive pas encore à tenir une discussion approfondie mais pour ce qui concerne le logement et les commandes au restaurant, on s’en sort.
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Bonjour,
En effet, il y a pire!
Très belles photos! Ça doit être agréable de voyager avec moins de voitures sur la route. En tout cas, au Québec, l’air est beaucoup plus pur.
Bonne suite! Portez-vous bien!
Salut,
Merci d’avoir laissé ces gentils mots.
Oui, voyager en hors-saison est vraiment cool. Les automobilistes en Espagne sont en général respectueux envers les cyclistes et c’est très appréciable.
Prenez soin de vous.
Thanh